Je peux vous dire la date de l’Apocalypse, ce sera le : 21 décembre 2012!!

24 11 2008

Enfin pas vraiment moi, mais les Mayas en tout cas ont avancé une date bien précise : le 21 décembre 2012.

Pourquoi ? Parce que leur calendrier ultra précis sur tous les phénomènes astronomiques alors qu’ils n’avaient pas à l’époque Hubble (le téléscope spatiale, ni d’ailleurs de téléscope tout court !), s’arrête subitement ce jour là. Le solstice d’hiver 2012 sera fatal ou pas.

D’ailleurs, il n’y a pas que les Mayas qui annoncent la fin du monde en 2012. Il y a entre autre les prophéties du Yi-King (chinois), différents prophètes au cours des âges ( ), des astrophysiciens (la terre va passer dans un alignement astral qui va lui faire changer sa polarité Nord à la place du Sud aux alentours de la date annoncée) , les indiens Hopi (qui annoncent la fin du 4ème Monde et le début du 5ème) et aussi une technologie issue de la surveillance du web qui prédit des guerres à n’en plus finir mais là pas besoin d’être un devin.

Pour approfondir ce billet je vous conseille de regarder ce docu :

Partie 1/5 :

Pour visionner les 4 autres parties cliquer sur les liens de la vidéo « 2012 documentaire 2/5, 3/5, 4/5 ou 5/5 »

ou bien voici l’adresse des vidéos : http://www.youtube.com/watch?v=N4WXwTIbmno

ou aller sur ces sites qui foutent bien la trouille :

http://nouvellevision.unblog.fr/tag/21-decembre-2012/ (trés bien expliqué)

http://www.2012fin.com/ (il y a les vidéos sur celui ci !!)





Et voici le 3éme choc pétrolier

30 05 2008

Il va falloir s’habituer au pétrole cher. 100, 110, 120, 130 et maintenant 135 dollars, le prix du baril ne cesse d’enfoncer de nouveaux plafonds. Décryptage de cette crise qui ne semble plus vouloir finir.


Gordon Brown, le premier ministre britannique, a-t-il raison quand il parle de «troisième choc pétrolier»?

Les deux premiers chocs pétroliers en 1973 et 1979 étaient des crises ponctuelles liées à une situation géopolitique délicate. L’envolée du prix du baril, qui dure depuis la fin 2003, est beaucoup plus graduelle mais l’effet sur le porte-monnaie est le même. «On peut parler de troisième choc pétrolier, mais un choc très différent des deux autres car l’impact économique est moindre», estime Jean-Marie Chevalier, directeur du Centre de Géopolitique de l’Energie et des Matières premières. En cinq ans, le prix du baril de pétrole est passé d’environ 30 à 130 dollars, soit une progression vertigineuse de près de 450%. Plus ramassées dans le temps, les crises de 1973 et 1979 avaient respectivement provoqué une hausse de 400% et 250%.

Comment expliquer cette hausse continue du prix du baril?

Le pétrole est un produit comme un autre: son prix est fonction du rapport entre l’offre et la demande. Depuis 2003, la demande mondiale s’est brusquement accélérée sans que l’offre soit en mesure de suivre. «Entre 1999 et 2003, les pays producteurs de pétrole réunis au sein de l’Opep étaient parvenus à maintenir un niveau de prix raisonnable. Mais à la fin 2003, quand la demande a commencé à devenir extravagante, tirée par la croissance mondiale, l’Opep a perdu sa capacité de réguler les prix en faisant jouer ses réserves. Il faut se souvenir qu’en 2003, alors que le marché était sous tension avec la guerre en Irak, les pays pétroliers avaient pu maintenir les prix en injectant sur le marché leurs excédents de production. Ce ne serait plus possible aujourd’hui», analyse Jean-Marie Chevalier.

La forte spéculation sur le pétrole est-elle responsable de la hausse?
La spéculation, souvent montrée du doigt, n’a en réalité qu’un effet marginal sur la hausse du pétrole. «Les investisseurs ne font qu’anticiper le manque de pétrole à l’avenir», estime François Lescaroux, économiste à l’Institut français du pétrole (IFP). L’afflux récent de spéculateurs sur le marché du pétrole rend néanmoins la courbe du baril de plus en plus incertaine: les hausses (ou les baisses) peuvent être très brutales.

Les pays de l’Opep sont-ils exempts de tout reproche?
Les Etats-Unis accusent les pays de l’Opep d’être responsables de la situation actuelle en maintenant un niveau de prix élevé. Le procès n’est que partiellement justifié. Si les pays pétroliers ne disposent plus de leurs «missing barrels» [excédents de production] qui leur faisait faire la pluie et le beau temps sur le marché, Jean-Marie Chevalier observe néanmoins «une tentation de la rareté» dans des pays comme l’Arabie Saoudite, la Russie ou le Venezuela. «Ces nations savent que la fin du pétrole est proche et veulent préserver la rente le plus longtemps possible pour les générations futures.» Par exemple, en différant leurs nécessaires investissements.

Les prix peuvent-ils baisser?
Dans un marché sous tension où la spéculation est forte, des baisses conjoncturelles sont possibles. Cette semaine, le prix du baril est redescendu à 126 dollars après avoir battu quelques jours auparavant son record absolu à 135 dollars. Mais tout indique que le pétrole devrait continuer à augmenter graduellement. Sur le marché à long terme, qui détermine le «prix d’équilibre» du baril, les nouvelles sont mauvaises: les investisseurs anticipent une hausse continue du pétrole.

Dans combien de temps les réserves de pétrole seront-elles épuisées?

Le pétrole est une énergie fossile, dont la ressource est par définition limitée. A chaque crise pétrolière ressurgit le spectre de la fin du pétrole. Les chercheurs se battent sur les chiffres et il est difficile de déterminer une date à laquelle le pétrole aura totalement disparu de nos sous-sols. Une certitude: l’avenir est assuré à moyen terme, on ne devrait pas manquer de pétrole dans les quarante prochaines années.

Jusqu’où le prix du pétrole peut-il monter?
Au début des années 2000, il paraissait inimaginable que le baril dépasse un jour les 100 dollars. Alors que le pétrole se négocie aujourd’hui aux alentours de 130 dollars, plus personne n’ose parler de «plafond». «On peut tout imaginer: le prix maximum est le prix du substitut au pétrole. Le pétrole ne peut pas être beaucoup plus cher que son futur remplaçant. Le problème, c’est qu’on ne sait toujours pas quel sera son remplaçant et quand il arrivera sur le marché.» Biocarburants, énergie solaire, combustible nucléaire ou découverte inespérée, les paris sont lancés.

SOURCE : Vincent Glad 20Minutes.fr, éditions du 30/05/2008





Météo locale

8 05 2008

Voici la liste des meilleurs sites de météo gratuit du web :

http://www.lachainemeteo.com

http://fr.weather.com/

http://www.infoclimat.fr/accueil/

http://www.meteox.fr/gmap.aspx?zoom=5&lat=47.9605023889151&lon=2.900390625

et enfin le meilleur pour la fin :

http://www.accuweather.com/ certes en anglais mais le plus précis et juste de tous.





SCOOP le soleil arrive enfin ?

23 04 2008

Le printemps n’est pas arrivé, il est déjà là

Avec une « amélioration » du temps, on entend dire que le printemps est arrivé ! Mais voilà, météorologiquement parlant, on est déjà au printemps depuis le premier mars et du point de vue astronomique, nous y sommes depuis le 20 mars.

Alors pourquoi dit-on que le printemps est arrivé ? Dans l’esprit des gens, le « printemps » correspond à un type de temps bien précis. Or au cours du printemps, saison de transition entre l’hiver et l’été, nous pouvons connaître quasiment toutes les conditions météorologiques possibles. L’épisode neigeux que l’on a vécu au cours de la dernière décade de mars n’a rien de particulier. On peut même encore observer des chutes de neige dans toutes les régions du pays en mai voire même de la neige au sol en Ardenne comme les 11 cm de neige notés le 14 mai 1902 à La Roche en Ardenne ou plus près de nous 12 cm à Mont Rigi le 3 mai 1979.

Des extrêmes opposés peuvent être enregistrés au cours des mêmes périodes calendrier. Ainsi le 4 mars 1987, on notait –16,2°C à Bütgenbach alors que le 5 mars 1948, la température atteignait 21,4°C à Rochefort. Il en est de même plus tard dans la saison : le 9 mai 1938, on relevait –1,4°C à Ostende alors qu’au cours des Saints de Glace 1998, on connaissait une vague de chaleur[1] très précoce.

Si tout le mois d’avril 2007 n’a pas vu une seule goutte d’eau à Uccle, en revanche pendant la dernière décade de mars 1986 ou la première décade de mai 1978, le total de l’eau recueillie atteignait presque 100 mm.

De même si le Soleil peut briller de tous ses feux comme en 1893 où le total des heures d’insolation a été de 643,0 h, en 1983, ce même total atteignait difficilement 273,1 h.

On constate que le « printemps » n’est pas un type de temps mais peut connaître aussi bien des conditions hivernales que printanières. On devrait plutôt dire à propos des conditions que nous allons connaître les prochains jours que l’été a envie de montrer le bout de son nez.


[1] Une vague de chaleur correspond à une période d’au minimum 5 jours consécutifs avec des maxima supérieurs ou égal à 25°C et au cours de laquelle on égale ou dépasse 30°C au moins 3 fois.





ENFIN DE RETOUR

22 04 2008

La foudre c’est beau mais c’est chaud !!!

C’est ce qu’a du se dire mon ordi la semaine dernière. En effet, aprés une série d’orages 3 jours de suite (en avril!!!), la foudre a mis KO mon ordi. Résultat : un bloc alim et un disque dur ; par miracle le reste n’a rien eu. C’est inexplicable, comme beaucoup de chose dans notre univers où toute réponse à une question amène à encore plus de question.

Bref, j’ai été obligé de passer sous LINUX (UBUNTU7.10 en attendant la 8.04) et je ne le regrette franchement pas du tout; bien au contraire!

Voili voilou tout ça pour dire que le réchauffement climatique nous affecte tous même moi au fin fond de l’Aveyron!





Marée basse exceptionnelle à Venise, les gondoliers au chômage

21 03 2008
 
 

À Venise, les gondoliers au chômageLes gondoliers de Venise (nord-est de l’Italie) étaient contraints de rester les bras croisés mardi, la ville d’eau étant quasiment à sec depuis dimanche en raison d’une exceptionnelle marée basse. L’eau devait atteindre mardi après-midi un niveau inférieur de 70 centimètres par rapport au niveau moyen de la mer, selon le centre de prévisions des marées de la municipalité.

Des dizaines de gondoles et de bateaux étaient échoués dans de nombreux canaux de la ville, tandis que les « vaporetti », bateaux des transports publics, étaient contraints de changer leur itinéraire.

Venise n’a pas connu en 2007 d’importante montée des eaux, (« acqua alta »), l’eau ayant « seulement » atteint un maximum de 109 centimètres au dessus du niveau moyen de la mer fin novembre.

La pire « acqua alta » de l’histoire de Venise remonte au 4 novembre 1966: elle avait été submergée par 194 cm d’eau alors que l’ensemble du territoire italien connaissait des inondations catastrophiques.

AFP





“Nous avons atteint les limites de ce que la Terre peut donner” – H. Reeves

6 03 2008
Source : blog « et si on vivait mieux ? »

Lors de la conférence qu’il a tenue mercredi dernier à Nantes, Hubert Reeves nous a apporté une version lucide (sans être alarmiste) des enjeux auxquels notre civilisation est confrontée. Son analyse s’articule autour de 3 constats :

* “La terre n’est pas infinie”
* L’homme est une espèce menacée
* Nous devons vivre avec frugalité, ce qui ne veut pas dire austhérité

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“La Terre n’est pas infinie”

Pendant longtemps, l’humanité a cru sa planète infinie, riche de ressources illimitées. Il l’a exploitée sans se soucier de ses capacités à se régénérer, et réalise maintenant qu’il y a des limites à ce que la Terre peut nous donner. Et elles sont atteintes.

Sur cette image de la NASA représentant la Terre vue du ciel, M. Reeves nous a montré les principales sources de dégradations qui mettent en péril notre environnement :

  • Lumières blanches : les feux de forêts – la déforestation, qui vise à développer les zones urbaines et les surfaces agricoles, est source de manque de CO2 (pollution), provoque des inondations, les terres cultivées sont moins fertiles, la capacité de la planète à alimenter ses habitants diminue ;
  • Lumières rouges : les torchères des installations pétrolières – notre consommation d’énergies fossiles est trop importante, source de rejets dans l’atmosphère (pollution) et ces sources seront bientôt tarries (nous avons déjà consommé plus de 50% des réserves de pétrole) ;
  • Lumières jaunes : les lumières des agglomérations – nos consommations énergétiques sont trop élevées ;

La grande banderole bleue représente une aurore boréale, tandis qu’une autre source n’est pas visible : les lumières de la pêche intensive, notamment dans l’Océan Pacifique.

L’homme est une espèce menacée

L’appauvrissement des sols, la pollution qui entraîne le réchauffement de la planète, la montée des eaux, et son cortège de conséquences que nous connaissons… tout cela met en péril la biodiversité de notre planète. Ainsi, Hubert Reeves avance que 30% des espèces vivantes pourraient disparaître durant notre siècle.

La bonne nouvelle, c’est que cela est déjà arrivé 5 fois depuis l’apparition de la vie animale sur Terre (600 millions d’années). A chaque fois, une grande variété d’espèces à disparu, mais cela a permis aux autres de se développer, et au final, la biodiversité a augmenté. C’est d’ailleurs grâce à la dernière grande extinction, qui fût celle des dinosaures, que les mammifères ont pû proliférer allègrement sur la planète.

La mauvaise nouvelle (pour nous), c’est que dans cette 6ème extinction qui nous pend au nez, les espèces menacées sont les grands arbres, et.. les mammifères de plus de 3kg ! Cela concerne beaucoup d’entre nous…

Ainsi, oui, la vie continuera sur terre, mais sans l’Homme.

Nous devons vivre avec frugalité, ce qui ne veut pas dire austérité

“On ne peut pas dire à quoi ressemblera la Terre en 2050″ affirme Hubert Reeves. Ainsi, il ne se dit pas optimiste, mais néanmoins déterminé. Si nous voulons avoir une chance de minimiser les dégâts causés à la planète et d’y conserver notre place, il nous faut apprendre à la ménager.

Cela veut dire vivre avec frugalité, mais pas nécessairement avec austérité. S’il ne croit pas à la décroissance, il est en revanche fervent partisant des amélioration que les progrès scientifiques peuvent nous apporter pour nous aider à limiter l’impact de nos activités sur le plan écologique.

En attendant, chacun, à son niveau, se doit d’adapter son mode de vie aux enjeux de notre temps, et notamment :

  • limiter ses consommations (d’énergie, d’eau, de plastique…) ;
  • limiter ses rejets (de CO2, de déchets…..) ;
  • privilégier dans son alimentation les céréales aux produits carnés (puisque l’on sait que pour “fabriquer ” 1kg de viande de boeuf, il faut 10kgs de blé et 20 000 litres d’eau)…

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